Arabella Téodora Mariella

Nom De Famille : Mariella
Prénoms : Arabella Téodora
Age : 20 ans
Date Et Ville De Naissance : 12 mars 1989
Nationalité : Italienne
Statut : Bourse d’étude

Caractère :

La belle Arabella est une femme de caractère, elle est douce et tendre quand elle le veut bien. Italienne dans l’âme, elle est fière, même parfois orgueilleuse, l’illustration vivante du fait qu’il ne faut jamais contrarier une femme, même quand elle a tord. Issu d’une famille modeste, Arabella est débrouillarde, elle accordera facilement son aide aux autres, mais ne s’abaissera jamais à en demander. Intelligente, elle est plutôt autodidacte, apprend vite et ne se laisse jamais surpasser par un quelconque problème, elle a toujours fait preuve de sang froid et de témérité.

Qualités :
Intelligente, audacieuse et exaltante

Défauts :
Caractérielle et orgueilleuse

Signe particulier :
Un piercing sur le nombril

Voilà pour les informations personnelles maintenant

Prénom Et Pseudo : Paul et Crystal
Age : 23 ans
Suggestion Sur Le Forum ? : Créer une couleur verte pour faire une guerre des couleurs a la place du bleu vs rouge ^^
Où As-tu Connu Le Forum ? : Ici même, il y a une semaine
Avatar : Laura Pausini
Multiple Compte ? Arabella et Xao

Histoire :

Arabella Téodora Mariella vint au monde un printemps révélateur, trois mois avant la date prévue par les médecins. Les prédictions scientifiques la prédisposait pour un mois d’été, pourtant la nature elle-même semblait attendre l’arrivée d’Arabella avec une impatience saisissante. Rare eussent été les fleurs si belle et les arbres si vert, ce printemps 1989 resta dans les mémoires comme celui où la nature n’eut de pareil éclat auparavant, mais pour les Mariella ce jours resterait bien entendu le plus précieux de tous.

Tel une fleur qui éclot avant son heure, Arabella était la plus belle de toute, une surprise que l’on n’attendait pas. Cette fleur magnifique, tellement pressée d’éclore avant les autres, termine souvent son cycle prématurément et se prédestine ainsi la première à faner. Mais la petite italienne n’était pas de celle qui se fane, dès son premier regard sur le monde, elle fit part d’une détermination sans faille.

L’enfant qui aurait du passer les trois mois qui suivirent en couveuse n’eut en tout et pour tout qu’une petite semaine au lit à coté de madame Mariella. Arabella apparemment avait déjà acquis toutes ses capacités physiques, elle avait même parait il un cœur plutôt solide, plus solide que certains bébés arrivant à terme. Les médecins les plus étroits d’esprit n’eurent aucune explication rationnelle, d’autre médecin mirent ça sur le compte de l’atmosphère démographique si bénéfique pour la nature engendrant d’une manière mystérieuse un bébé d’un métabolisme rare.

Tea Mariella, accordait une attention sans pareil à sa fille Arabella durant son enfance, elle ne travaillait pas et élevait sa fille à la maison. La charmante petite fille montra très vite des signes de prédisposition certaine pour un brillant avenir. Toujours pressée de grandir, Arabella ne laissa jamais le temps se jouer d’elle, à 7 mois elle se mit à marcher, à 9 mois elle expérimentait la parole, le sens qu’elle utilisera le plus souvent dans sa vie, mais élément dont ces parents se seraient passés volontiers tant elle déblatérait chaque jour.

Entrant à la maternel pour l’âge de ses 2 ans, les Mariella connurent pour la toute première fois le glas de l’engeance d’une fille surdouée. Ça n’eût fait que 3 jours qu’Arabella était entrée à l’école, mais déjà avait elle violemment disgracié un garçon qui voulait jouer avec la petite. L’italienne n’eut jamais le tempérament d’une enfant gâtée, elle préférait poser des questions par millier, s’instruire que de perde son temps à jouer, après tout que lui apporterait un bête échange de familiarité avec un garçon aussi inculte que celui qui voulait s’en faire une amie.

A 3 ans, Arabella était perçue comme une meneuse, dans la cours de l’école elle décidait de qui était intéressant ou non, généralement elle demeurait seule sur son petit territoire dont personne n’osait franchir les limites. Elle aimait s’allonger par terre à réfléchir à toutes sortes de choses en regardant le ciel, faisant le vide autour d’elle, éclipsant les cris de ces camarades puérils, elle contemplait les nuages avec émerveillements.

Ces petits amas de vapeurs céleste la fascinaient déjà à son jeune âge, elle tendait la main essayant vainement d’en saisir, ce qui faisait bien rire ses petits camarades trop bien avertis pour se permettre une quelconque remarque à la fillette concentrée. Comment de charmants petits morceaux de guimauve blanc pouvaient ils voler dans les airs, Arabella avait pourtant déjà essayé de planer, mais jamais elle n’y était parvenue, le fait que ces nuages y arrive la dévorait de jalousie et d’enthousiasme, un jour elle y parviendrait sûrement.

Expulsée de l’école maternelle à 5 ans pour comportement agressif, l’italienne caractérielle se vit diriger vers la grande section, l’école primaire qui paraît-il lui conviendrait d’avantage. Elle n’eut aucun mal à se faire respecter dans la cour des grands, malgré les 2 ans qui la séparait de ses camarades, elle avait toujours cette aura arborante qui faisait d’elle une dominatrice.

Même les enfants les plus durs n’essayèrent pas d’intimider Arabella qui avait un charisme inné décontenançant les moins apte à l’autorité. Étrangement, elle fût moins dure avec les élèves plus âgés, les trouvant beaucoup plus intéressants que les bébés qu’elle avait eu à côtoyer jusqu’alors.

Toujours la première arrivée à l’école, l’italienne précoce adorait sa nouvelle classe, elle y apprenait tellement de choses qu’elle se rapprochait certainement des nuages tant convoités. Ce fût bien la première année, mais dès la deuxième déjà Arabella sentait le niveau régresser. La maitresse montrait des choses qu’elle avait déjà vues l’année précédente, chose adhérente appelé révision, à quoi cela servait il, une chose acquise ne devait elle pas l’être pour la vie ?

On ne sut que faire de la fillette de 6 ans si ce n’est que de la monter encore une fois dans une classe supérieure, ainsi évoluait elle qu’elle entrait au collège pour ses 9 ans. Le collège lui plaisait, malgré qu’elle soit toujours la plus petite, mais elle en avait désormais l’habitude. Elle effectuait toutes ces années de collège sans en sauter une seule, le collège procurait une éducation très structurée qui donnait lieu à de nouvelles connaissances chaque année, ce qui convenait très bien à Arabella.

Après d’innombrable démarche et lettre de recommandation, à 14 ans l’adolescente pourvue déjà d’un charme certain pu entrer au lycée, la plus part des élèves ayant maintenant jusqu'à 6 ans de plus qu’elle pour les plus désavantagé. Ce fût un autre monde pour Arabella, plus question de charisme ou de son air imposant, personne ne voulait prendre au sérieux une fillette de son âge. Elle avait toujours été rejetée, mais là rien n’était plus pareil, elle ne fût pas rejetée pour sa supériorité mentale mais pour son infériorité d’âge et de forme.

L’italienne était mignonne comme une fille de son âge, très mignonne même pour l’âge qu’elle avait, mais ne pouvait pas rivaliser avec une presque femme de 17 ans. La sérénité qu’elle cherchait quelque année auparavant la pesait tellement ici, elle aurait tant voulu avoir quelques amis comme les autres filles qui avaient l’air heureuses. Arabella avait ses parents, mais rien ne remplaçait l’amitié ou l’affection d’un garçon qu’elle ne connaissait pas mais qui avait l’air si tentant. Seul un garçon d’une différence d’âge certaine avec elle lui faisait des avances répétées, mais d’une envergure plutôt malsaine, elle ne préféra pas donner suite aux charmes du garçon qui avait l’air fort intéressé par la virginité de l’italienne encore fraiche comme la rosée du matin.

Son calvaire ne fût que d’une année, n’ayant pas put continuer ses études plus loin. Son père que tout le monde surnommais Tonio était tombé très malade, une maladie rare et difficile à traiter. Ne pouvant pas continuer à travailler dans ses conditions, il perdit sa crédibilité en même temps que son emploi laissant à sa famille l’entière charge de la maison et de l’hospitalisation.

Histoire (suite) :

Tea Mariella n’avait jamais eu à travailler, le père de famille leurs assurant une rente modeste mais correcte pour vivre, elle allait devoir se débrouillée seule, sans compétence particulière ce qui n’était pas gagné d’avance. La jeune fille détestait ce sentiment d’impuissance qu’elle éprouvait, elle eût étudié la maladie en science, et savait très bien que son père eût eu très peu de chance de s’en sortir, elle était suffisamment intelligente pour comprendre que ça mère n’arriverai pas a payer l’hospitalisation, le crédit de la maison et les repas pour deux.

Arabella prit la décision qu’elle considéra la plus sage pour tout le monde, sans prendre le temps de se munir de quoi que se soit, elle s’enfuit loin de la maison, laissant simplement une note à sa mère lui expliquant que la seule solution pour aider son père était de ne plus être une charge à leur dépend.

La seule chose qu’elle eue trouvée eût été de se rendre chez un garçon du lycée, Ernesto Tudesco, elle chercha son adresse dans l’annuaire et alla directement le voir chez lui. Il fût fort étonné quand sa mère lui annonça la visite de la petite sœur de son ami Luigi étant donné que ce dernier n’eut jamais de sœur, mais il ne fit pas d’histoire et accompagna la jeune fille dehors.

Ernesto était un caïd du lycée, connu pour ses combines plutôt douteuses mais généralement bien payées. Ce dernier eût fait pas mal d’avance à la fillette qui avait toujours repoussé le garçon sachant très bien ce qui l’obsédait. Elle savait fort bien ce qui l’attendrait en venant ici seule la nuit se perdant avec lui dans les bois, mais elle n’avait pas la tête à considérer ce genre de problème. Arabella devait quitter le pays, elle eût entendu dire qu’en Amérique beaucoup d’étranger pouvais y trouver du travail, même clandestinement et même à son âge. Ernesto issu d’un coté paternel américain devait de toute évidence pouvoir l’aider.

Elle sacrifia la seule chose qui lui restait, ayant abandonné famille et bien matériel, elle se donna à lui avec un sentiment de désapprobation certaine doublé d’un sentiment d’excitation à l’idée de devenir une femme maintenant. La nuit fût longue, mais pas si désagréable qu’elle l’aurait cru, le garçon était vil et mal aguerri, mais un bon amant pour une fillette de 15 ans. Il tenu parole, et obtenu pour Arabella un allé simple pour l’Amérique, attendue sur place par son oncle surnommé là bas the King. Bill de son prénom, accueilli l’italienne, lui fourni toit et nourriture en échange de 12 heures par jour de son temps à faire de la couture dans un atelier souterrain.

La vie de la jeune adolescente avait beaucoup changé, mais elle continuait à penser à son père, ne sachant pas à quoi s’en tenir, espérant chaque seconde qu’il puisse aller pour le mieux. 3 mois s’écoulèrent avant qu’Arabella ne succombe sous le poids du travaille et s’écroule dans l’atelier. Il n’en fallu pas plus au King pour s’acquitter de sa dette envers la jeune fille, la remerciant et la remettant à la rue.

Le climat était rude, mais tempéré, c’était le printemps elle allait avoir 16 ans, à la rue et sans argent, elle vécu un mois en mendiant son repas quotidien. Elle ne mangeait pratiquement rien chaque jour, mais continuait à grossir, phénomène plutôt étrange dans sa situation. Le visage d’Arabella dépérissait, mais elle conservait d’agréable forme qu’elle mit sur le compte de l’âge et de la croissance.

Un vieillard frigorifié par la nuit plutôt fraiche qui tombait brusquement attendrit la misérable italienne qui partagea avec lui un manteau, acqui quelque jour auparavant dans une poubelle, un manteau un peu troué, mais bien chaud et confortable. Elle se blottit tout contre le septuagénaire, lui accordant la grâce d’une nuit sous le même vêtement.

Le matin venu, l’homme à coté d’elle paraissait dix année de moins, et ayant repri des couleurs, remercia la fillette tous en la félicitant. Lui avouant d’un air compatissant, que de garder un enfant dans son état devait être vraiment difficile. Abasourdie par la nouvelle Arabella quêta d’avantage d’information auprès de l’homme qui lui confirma la nouvelle. Avant la sénescence, William, de son prénom, était un brillant obstétricien de nouvelle Angleterre qui sombra dans l’alcool après la mort de sa femme et de sa fille. Apparemment il eut encore la possibilité de reconnaitre le ventre d’une future maman, même quand celle-ci avait mauvaise mine.

Ainsi la prépondérance ventriculaire et mammaire soudaine d’Arabella n’étaient pas uniquement dues à l’adolescence. Elle ne put cacher son désarroi, ce fût la première fois que quelqu’un la vit pleurer, elle se plongea dans les bras de l’annonciateur d’une nouvelle si bouleversante. Elle ne pouvait se résigner à garder le bébé, elle n’avait rien à offrir à part cette veste qu’elle abandonna finalement à William.

Comprenant l’état critique de la situation ainsi que son urgence, le vieux médecin lui proposa une folie qui dans le cas présent eût été la seule solution disponible. Ils se rendirent tous deux dans un service hospitalier obstétrique, l’homme utilisa un révolver qu’il gardait au départ pour mettre fin à ses jours misérables, et, prenant en otages une infirmière, réussit à avoir assez de matériel pour tenter l’opération.

Arabella tenait l’infirmière en joue pendant que l’obstétricien l’avortait, ce fût avec plus ou moins de délicatesse que tous deux réussirent à enlever ce bébé qui de par sa conception improbable n’eût pu espérer plus réjouissant destin.
Ce fût dans une course effrontée, que les deux complices s’enfuirent de l’hôpital retournant sous le pont qui leur avait servi précédemment d’abri.

William donna un papier à Arabella, la sommant de se rendre à la banque, de donner le numéro de compte écrit sur le papier, ainsi qu'une dérogation, là était enfoui les dernières économies d’un homme qui avait fait son temps.
Sur ses dernières volontés, l’homme pointa le révolver sur sa tempe et ne retint pas le coup qui mit fin instantanément à une vie triste de douleur.

Pourquoi cette homme si bon si généreux vivait il comme un sans abri alors qu’il eut de l’argent en banque ? Comment quelqu’un pouvait il s’infliger ça à lui-même. Arabella pleura le seul ami qu’elle n’eût jamais espérée avoir, elle prit le temps de le mettre en terre et de lui accorder un salut digne de son geste.

Dans d’autre circonstance, l’italienne effrontée aurait refusé de se rendre à la banque, mais en avait elle vraiment le choix. Elle suivit les instructions de son donateur et hérita d’une somme impressionnante, il y avait assez pour être à l’abri du besoin plusieurs années, en considérant des dépenses raisonnable.

Arabella garda de quoi s’inscrire au lycée terminer les quelques années qui lui restait d’études secondaires, et envoya le reste de l’argent à sa mère accompagné d’une lettre lui expliquant son geste passé et la vie qu’elle avait mené jusqu’ici. Elle avait 16 ans, le lycée devenait accessible pour elle sans contrainte d’âge ni d’argent, elle reprendrait là où elle s’était arrêtée.

Etudiant avec ardeur, la belle italienne qui reprenait petit à petit des couleurs se plaisait beaucoup au lycée. Le charme de son pays visible sur ses traits ne laissait pas indifférent les lycéens américains, mais elle eût été bien mal avisée de succomber à une quelconque aventure après la terminaison de sa dernière relation spontanée.

Arabella vécu une vie seine depuis la mort de William, elle n’eut aucun problème à terminer ses études et fût nommée major de promotion. Un professeur de l’université du 7ème art de high Fly ayant lu plusieurs devoir de l’italienne envoyés par un professeur aguerri du lycée, proposa à Arabella d’intégrer l’université de Californie avec une bourse d’étude pour perfectionner son talent dans l’écriture de scénario.

La jeune femme qui atteindra 20 ans l’année prochaine ne sut pas trop comment prendre la nouvelle, mais ayant dépensé l’argent qui lui restait lors de ses études accepta la proposition.
Elle terminerait ses études à high fly et retournerait chez elle en Italie pour exercer son art et revoir ses parents.

[2476 mots]

Et bien... Belle histoire que voilà ! Voici ta notation, si elle ne te convient pas, tu sais où me trouver :

° Contenu :
_ Nombre de mots : Plus de 1800 mots -> +05
_ Ecriture : 13,5/15
_ Français : 7,5/10

° Appréciations :
Alya : 3.5/5

Même remarque que pour Xao. Néanmoins, on remarque du travail dans ta façon d'écrire et on voit que le moteur reprend l'habitude... [désolé pour mes commentaires nul... ^^]

Soul : + -> originalité.

° Total et commentaires :

Alors... Il reste toujours des fautes d'orthographe qui auraient pu être évitées par une relecture (je comprends, j'aime pas relire juste après avoir écrit^^) Il y a aussi certains temps que tu utilise de façon étrange ("eu étudié", "eu fait") Conjugaison un peu anarchique non ? (ou tu viens de m'apprendre un truc) -> Et tu viens de m'en apprendre un !! Fais quand même attention à ce que ça n'alourdisse pas ton texte (ce commentaire est personnel donc ne modifie pas ta façon d'écrire pour moi !! )

Niveau style, c'est mieux. Beaucoup plus détaillé, plus travaillé. Tu donne des précisions intéressantes et tes phrases sont joliment tournées. Il y a toujours un truc qui me dérange, même si j'ai du mal à l'identifier... (3ème personnage pour m'aider à mettre le doigts dessus ? xD) Je pense que c'est simplement les tournures de phrases que tu utilisent qui me perturbent Bref, c'est bien et j'admire l'originalité tragique de ce passé. Vivement un RP

Avec 29.5+ sur 35, Arabella est admise en deuxième ( avec toujours le choix de la mettre en première, à toi de voir). La demoiselle peut s'installer chambre 200 (pas de colloc pour le moment mais tu es à trois portes de Gab et Marianne )