présentation: Kate M. Rosman

DOSSIER DE KATE M. ROSMAN

NOM : Rosman
PRENOM(S) : Kate Mary [dit Kate M.]
AGE : 19 ans
ORIGINE : Anglaise
STATUT : Argent de famille

CARACTERE : Kate cherche son chemin, issue d’une famille bourgeoise, elle n’a jamais eu de vrais rapports avec ses parents, trop occupés à compter leur argent… Elle a apprit à se débrouiller seule et n’est donc pas de nature sociable. Elle se méfie des gens qui l’entourent, il faut dire que les seuls à qui elle a fait confiance en dehors des parents ne lui ont pas bien rendus la monnaie de sa pièce. Elle n’est pas de nature très jalouse mais reste assez possessive en ce qui concerne les seules choses auxquelles elle a eu droit, les seules choses qui l’ont aidée. Il s’agissait peut-être au départ d’une personne tout à fait banale, mais son arrivée à High Fly va changer bien des choses… La jeune fille se révélera en effet comme une demoiselle très sympathique mais aussi malicieuse et manipulatrice quand il le faut. Si vous avez l’honneur de la connaître et de faire partie des personnes importantes pour elle et qu’il devait vous arriver un quelconque malheur, allez la trouver, elle saurait vous en sortir grâce à des plans machiavéliques… Enfin, ceci est un bien grand mot, mais elle aura toujours LA solution !

QUALITES : audacieuse – sensible - manipulatrices
DEFAUTS : beaucoup de ses qualités peuvent aussi se révéler être des défauts. Ainsi la jeune peut parfois se montrée un peu trop audacieuse et devenir très vite orgueilleuse mais seulement envers les personnes trop arrogantes qui lui rappelle ces petits bourgeois de son ancien lycée privé. Pour sa sensibilité, il s’agit plus d’un problème à ses yeux. En effet, on ne le lui a jamais reproché, au contraire, le problème était qu’elle réagissait fort et parfois trop et la douleur était, certains moments, à peine supportable. Question manipulatrice, Kate a juste tendance à être très méchante quand elle est de mauvaise humeur et encore pire envers ses ennemis alors si elle est dans un de ses mauvais jours… Restez calme ou vous risquez d’être la prochaine victime de ses plans parfois très cruels !

SIGNE(S) PARTICULIER(S) :
_tatouage dans le bas des reins style couronne orientale
_tatouage sur la clavicule gauche, 3 petites étoiles
_oreille gauche : 2 trous
_oreille droite : 1 trou

HISTOIRE:
Malgré la canicule annoncée pour le mois de juillet 1990, le ciel était gris et l’air lourd et le petit bout de vie tenant encore à un cordon avait décidé de montrer le bout de son nez, au grand… Désespoir de ses parents. Et après de longues et douloureuses contractions, on entendit enfin les cris d’un nouveau bébé, une petite fille qui s’appellerait Kate Mary Rosman, née le 6 juillet 1990 à 15h23 dans la grande ville de Londres. C’est ici que commencera sa vie de bourgeoise.
Dés son plus jeune âge, Kate fut éduquée par une nounou, engagée par ses parents, et très vite l’argent remplaça toute trace d’affection. Au début elle n’eut aucuns problèmes et à l’âge de 4 ans elle était bien la fille de ses parents : bourgeoise et hautaine. Tout le contraire de son grand frère, Matthew, 3 ans de plus qu’elle et qui s’était avéré être un jeune garçon à problèmes et pourtant le petit protégé de ses grands-parents. Elle était donc et sans étonnement le petit ange de ses parents et un vrai démon pour Matthew.
Mais, alors qu’elle allait avoir 7 ans, ses parent durent partir pour un voyage de couple assez long et les confièrent aux parents du père, ceux qui adoraient le garçon et que Kate détestait pour ça. Les deux premières semaines furent un vrai enfer, à chaque caprice ses grands-parents, Doria et Gus, lui faisaient des remarques en prenant Matthew comme exemple : si gentil et si poli… Elle les détestait pour ça, pour ne pas être leur petite chouchoute, elle n’était plus le centre du monde, elle n’était rien de plus qu’une gamine prétentieuse. Elle s’était enfermée dans sa chambre pendant 2 jours, descendant tout de même pour manger, jusqu’à ce que son papy, qui avait préféré laisser faire la grand-mère, s’en mêle.
Il était alors monté jusqu’à sa chambre fermée à double tour et avait frappé quatre coups à la porte avant de lui demander d’ouvrir d’un ton calme et posé. Elle attendit quelques secondes mais ne supporta pas le laisser là et se leva de son lit pour lui ouvrir avant de lui tourner le dos à nouveau. Alors il l’a regardée s’asseoir sur le lit et a sourit.

-Tu viens déjà de faire un premier pas dans ton éducation ma petite fille, avait-il dit toujours d’une voix très calme et même encourageante.

Il s’est alors avancé doucement et s’est assit sur le lit avec beaucoup de légèreté et Kate se décrispa un peu en le regardant avec beaucoup de fascination. Il reprit alors la parole et elle l’écouta comme elle ne l’avait jamais fait auparavant, avec autant de respect que quand elle dormait. Les mots coulaient dans ses oreilles, on aurait pu croire qu’ils étaient tous choisis méticuleusement et le ton de sa voix était doux sans être endormant.

-Tu ressemble tellement à ton père… Lui aussi a les cheveux châtains, lui aussi a les traits assez doux et sévère en même temps. Lui aussi a hérité d’un mauvais caractère après avoir connu ta mère ! C’est vraiment dommage, après m’avoir rencontré, nous avons tout de suite su, ta grand-mère et moi, que nous ne le reverrions plus comme avant. Pourtant ta mère n’a jamais été une mauvaise personne, mais elle aussi a été aveuglée par la richesse.

Il se tourna à nouveau vers elle et lui jeta un petit sourire triste. Elle avait l’impression d’être une grande personne à qui il se confiait et appréciait ça.

-Tu as les même yeux que ta mère par contre… Tu vois à travers tes pupilles noires et pourtant tu es aveugle. Tu ne sais pas ce qu’est la vraie vie, tu ne sais pas apprécier les bonnes choses, même si tu les achète. Elles n’ont pas de vraies valeur pour toi parce qu’elles te sont accessible tout le temps. On croyait que ton père allait pouvoir faire découvrir le vrai amour à ta mère mais ça n’a duré que quelques temps, puis l’argent à prit place dans leur cœur. Ne deviens pas comme eux ma petite, tu es beaucoup trop jeune, tu dois connaître les bonnes choses de la vie, les moins chères… Quand il pleut dehors, sors et sens la pluie glisser sur ta main pour finalement la mouiller. Quand il y a du vent, va humer l’air et emplir tes poumons d’oxygène pour te montrer que nous n’avons pas toujours besoin de souffrir pour sentir qu’on vit. Quand il neige, essaye d’attraper les flocons, quand il y a du soleil ne le fixe pas mais sens le sur ta peau, bien qu’il soit à des milliers de kilomètres… C’est ça la vie, l’argent n’est qu’une option, mais il ne remplace pas le plaisir !

Il avait dit tout ça sur un ton plus dur cette fois, il voulait se montrer persuasif et il l’avait été. Elle l’avait écouté sans détacher ses yeux de sa bouche, fascinée par tout ce qu’il disait. C’est donc ça la vie ? Elle ne se résumait pas à l’argent ? C’était donc ça ce que Matthew faisait, il ne créait pas des problèmes mais il vivait, simplement ? Elle décolla alors son dos du mur pour attraper le bras de son papy.

-Papy, je veux que tu me fasses vivre, dit-elle.

Il eut alors un petit rire et se tourna vers elle.

-Mais tu vis déjà, seulement pas comme il le faut. Mais tu as la chance de n’avoir que 7 ans et d’être encore capable de comprendre ce qu’est la vrai vie, tu n’es pas irrécupérable ! Et je vois déjà tes yeux s’éclaircirent.
-Mais enfin papy, c’est juste le soleil qui sort des nuages ! répondit-elle.

En si peu de temps, elle était déjà devenue une autre, elle croyait avoir déjà acquis une maturité supérieure à celle de ses parents.

-Mais tu vois, ce soleil, c’est toi… Tu n’es pas une gamine prétentieuse, je sais que tu peux changer, et ta grand-mère le sait aussi, mais elle n’a pas autant de patience que moi…
-Comment tu fais ? avait-elle alors demandée.
-Faire quoi ?
-Comment tu fais pour parler comme ça ? Comme ci c’était un texte que tu avais préparé. Que tu savais à l’avance ce que tu allais dire.
-Ca ma petite, c’est des années d’apprentissages, lui expliqua-t-il.
-J’aimerais savoir parler comme toi papy…
-Mais tu le peux, tu le fais déjà, il te suffit d’ouvrir la bouche, de dire des mots et d’en faire des phrases.

Elle avait rit à cette remarque.

-Mais je sais parler normalement, mais tu ne parles pas comme tout le monde, tu ne comprends rien ou quoi ?!

Et le vieux Gus aussi se mit à rire, il avait parfaitement comprit et connaissait l’origine de cette facilité de la langue.

-Bien sur que si je comprends Kate, avait-il dit, mais veux-tu vraiment savoir où j’ai appris tout ça ?

Elle avait secoué la tête positivement dans un excès de bonheur et son grand-père s’était levé pour lui dire de descendre et il avait ajouté qu’il lui montrerait le jour suivant.
Il tint sa promesse car le matin même, il vint la réveiller alors que Doria, sa grand-mère, et Matthew dormaient encore. Le déjeuner était près pour eux deux et Gus très excité de pouvoir montrer sa passion à sa petite fille.

-Grand-père, tu as l’air content de me montrer où tu as appris à parler comme tu le fais mais tu n’étais pas obligé de me lever si tôt !
-Tu apprendras ma petite, que l’avenir appartient à ceux qui se lève tôt, et puis, si tu faire ce que moi j’ai fais, tu devras t’y habituer.
-Et qu’est-ce que tu as fais ?
-Habilles-toi et descends, tu verras quand on y sera.

Il avait quitté sa chambre et elle s’exécuta pour aller après le rejoindre en bas et prendre son petit déjeuner. Ils partirent alors ensemble vers une destination inconnue pour Kate mais l’excitation se sentait dans la voiture. Gus qui voulait faire découvrir à sa petite fille à quoi s’était résumé sa vie après sa femme et elle, qui voulait savoir de quoi il s’agissait.
Arrivée sur place, elle fut émerveillée par la beauté du bâtiment. Style ancien, néoclassique et la grande porte imposante. Son grand-père respira un grand coup, se dirigea vers l’entrée et elle lui emboîta le pas. Quand ils furent dans la grande salle, remplie de sièges rouges et de lustres reluisants, elle comprit tout de suite de quoi il s’agissait.

-Papy, tu as été un acteur célèbre dans le monde entier ?! s’écria-t-elle alors que celui-ci avaient les yeux pétillants de bonheur.
-Pas célèbre dans le monde entier, ria-t-il, mais j’ai été un acteur assez connu dans les régions alentours, le théâtre était toute ma vie, c’est d’ailleurs durant une pièce que j’ai rencontré ta grand-mère.
-Waouh ! Et tu as arrêté quand ?
-Il y a quelques années, mais je ne me lasse pas de venir voir le travail des autres, c’est un réel bonheur à chaque fois.
-Pourquoi tu as arrêté ?
-J’étais devenu un peu trop vieux, je n’avais plus assez de force pour assumer toute une pièce et le stress n’améliorait rien.-Pourtant je trouve que tu as encore beaucoup de forces ! Tu pourrais aller sur la scène ? Que je vois à quoi tu ressemblais… Et récite-moi quelque chose s’il te plaît.
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SUITE:
Il hésita un instant et monta finalement pour prendre place au milieu de la scène pour réciter du Shakespeare et Kate n’avait d’yeux que pour lui, pendue à ses lèvres. Lorsqu’il eut finit, elle attendit encore quelques secondes le temps que les dernières paroles prennent son corps en otage puis applaudit de toutes ses forces. Elle sentit alors une petite larme au coin de son œil gauche.

-Papy, tu es un Dieu et je veux devenir comme toi !

Il descendit de la scène pour la rejoindre et d’un geste du pouce essuya la petite larme.

-Tu as toutes les qualités qu’il faut pour ça, regarde, tu pleure alors que je n’ai fais que réciter un texte tout bête.
-Mais tu l’as tellement bien fais !
-Tu arrive à ressentir de l’émotion par de simples paroles et très peu de personnes savent le faire. La magie du théâtre n’apparaît que lorsqu’on voit des gens comme toi, capables d’apprécier ce que tu fais et de le ressentir, alors la pièce prend vie, à travers l’émotion des spectateurs.

C’est ici que sa vie commença, à l’âge de 7 ans.
Ses parents revinrent quelques semaines plus tard pour les ramener chez eux, mais se ne fut plus la même chose. Ils la considèrent elle aussi comme une fille à problème. Quant à ses grands-parents, ils passèrent de plus en plus souvent chez eux, soucieux d’elle et de son frère. Mais à chaque fois, c’était le même plaisir de les voir, et à chaque fois, c’était la guerre entre les grands-parents et les parents. Alors Matthew et Kate s’enfermaient ensemble dans une chambre et tentait tant bien que mal de s’endormir. Ca a duré quelques temps comme ça, et la vie continuait son cours normal.
A l’âge de 10 ans, Kate demanda à son papy pour pouvoir prendre des cours de théâtre, sachant très bien ce qu’en penseraient ses parents. Il l’aida du mieux qu’il pu, et ils cachèrent la chose pendant 1 an, jusqu’à ce que les parents le découvrent. Inutile de dire comment fut leur réaction. La dispute dura des heures et fut plus violente encore que les autres. Mais Matthew était là et protégeait Kate. Dans leur chambre, ils étaient dans les bras l’un de l’autre et tentait de ne pas écouter toutes ce qui se disaient.
Alors elle fut privée de théâtre et « cloitrée » dans sa chambre telle la Cendrillon des temps modernes, pendant 3 mois, après, elle ne parla plus de théâtre mais évitait aussi le dialogue avec ses parents.
Elle alla ensuite dans un lycée privé où l’on retrouvait beaucoup de gosses de riches comme elle l’avait été mais elle ne voulut pas. Elle ne les aimait pas, voulait faire partie d’un lycée ouvert à tous, où personne de snobait parce que l’autre n’était soi-disant pas assez bien pour rester avec eux. Elle s’était battue avec ses parents puis finit par capituler, sous les conseils de son frère qui lui certifia que c’était peine perdue.
C’est alors que le drame arriva alors qu’elle n’avait que 15 ans. Elle du quitter sa classe car une nouvelle venait d’arrivée à propos de sa famille. Inquiète, elle s’était levée sous les regards curieux des autres. Elle avait suivit son éducateur jusqu’au bureau du principal où se trouvaient ses parents et son frère. Ce dernier avait les yeux rouges, les deux autres n’avaient pas l’air aussi mal en point mais manifestement étaient loin d’être réjouis, ça devait être grave. Matthew c’était alors approché d’elle, déposé la main sur son épaule et dans le creux de son oreille, prononça ces mots qui restèrent gravés à jamais dans sa mémoire :

-Grand-père Gus est mort d’une crise cardiaque.

Elle était alors tombée en pleure dans ses bras et avait crié le plus qu’elle pu. Son grand-père qui lui avait tout appris, qui lui avait donné le goût de la vie, qui l’avait toujours supporté et qui avait toujours été là dans les moments durs. Qui ferait face à ça avec elle maintenant ? Son frère, et qui d’autre ? Elle n’avait jamais eu de liens plus étroits que ceux qu’elle avait eus avec son grand-père. Elle avait alors posé son regard sur ses parents et sentit alors la colère montée en elle. Elle voulut se ruer sur eux mais son frère l’en empêcha avec sa force de garçon de 18 ans, et elle avait hurlé.

-C’est vous, c’est vous qui avez causé sa mort !!! Vous l’avez tué doucement, à petit feu, je vous déteste, vous êtes des monstres, j’veux plus vous voir !! Je vous hais, arrêtez votre air de malheureux, vous ne le connaissiez même pas ! Arrêtez… Arrêtez !!

Et elle s’était littéralement écroulée sur le sol dans un trop plein d’émotions.
Elle se réveilla finalement à l’hôpital, elle avait fait un gros malaise, et son frère était là, assis à ses coté et lui tenait la main.

-Dis-moi que c’était un cauchemar… lui avait-elle demandé, sachant malgré tout que ce n’était pas le cas mais gardant tout de même espoir.

D’un air dépité, il avait baissé les yeux.

-Non Kate, je suis désolé…

Et il s’était mis une nouvelle fois à pleurer. Elle avait fixé le plafond, se mordant la lèvre inférieur pour retenir les larmes qui inondaient déjà ses yeux mais en vain. Elles glissèrent sur sa joue et un sanglot s’échappa. Elle ne pouvait rester allongée là, elle devait se lever, prendre son frère dans ses bras et ensembles, ils devaient aller rejoindre Doria, leur grand-mère.

L’enterrement fut plein d’émotion, Gus avait été un homme aimé, l’église avait été remplie. La famille, les amis, les proches et toute son ancienne troupe de théâtre au complet. C’était Kate qui avait eu l’honneur de lui rendre hommage, pendant qu’elle avait dit son texte, tout le monde l’avait écoutée, les larmes aux yeux… Ca avait été un texte rempli d’espoir mais aussi de tristesse. A travers ces mots, la jeune fille comprit que c’était une page qui se tournait pour elle, se ne serait plus jamais la même.
Elle se remit au théâtre avec l’accord de ses parents mais ils n’acceptèrent pas de la changer d’école. Ca lui avait permis d’extérioriser ce qu’elle ressentait, que se soit la haine, la joie [rarement], la tristesse ou autre. Ca lui permettait d’être une autre fille que celle qui restait renfermée à l’école, c’était ce qui lui avait rendu un certain goût de la vie. Dans ce qu’elle jouait, n’import où et avec n’importe qui, elle voyait son grand-père.
A l’âge de 17 ans, elle était devenue une jeune femme assez attirante mais dont la vie était loin d’être remplie de bonheur. Elle avait apprit à ne compter que sur elle-même. Son grand-frère était partit vivre sa vie en France mais prenait tout de même des nouvelles d’elle le plus souvent possible. Elle avait eu un petit ami mais celui-ci ne se gêna pas de la tromper avec une autre. Elle avait été tout de suite au courant mais n’avait rien dit au début pour voir jusqu’où cela irait. C’est là qu’elle se découvrit une face cachée assez intéressante à exploiter.
Elle s’était alors elle aussi amusée à jouer avec lui assis qu’avec l’autre fille. Se rapprochant de celle-ci, lui disant qu’elle l’appréciait énormément et les mettant ainsi mal à l’aise… Elle n’eut pas besoin de demander quoique se soit pour qu’ils avouent et regrettent aussitôt. C’était donc ça cette nouvelle qualité, prenez ceci pour de la méchanceté ou pas mais Kate avait le potentiel de faire avouer beaucoup de choses aux gens en les manipulant simplement. Vous trouverez peut-être ça malsain ou pas, mais mieux vaut vous prévenir, ne vous frottez pas de trop à elle lorsque vous savez que vous n’avez pas fait quelques chose qui lui plairait ! Car elle a eu pour elle 2 ans afin de mettre au point ce qui faisait d’elle une personne dont il fallait désormais se méfier.
Comment elle avait découvert cette académie ? C’était simplement sa prof de théâtre qui lui en avait parlé. Elle lui avait dit qu’elle devait être l’une des seules personnes qui mériterait une place là-bas. Et elle avait fait appel à certaines personnes pour la voir jouer et Kate fut immédiatement remarquée. Certes elle a encore beaucoup de choses à apprendre, mais on sentait en elle quelque chose de rare. On voyait se dessiner le plaisir dans ses yeux. On pouvait même sentir son cœur s’emballer à chaque mot de chaque réplique et c’est ça qui peut séparer les vrais acteurs aux autres, car ceux-là savent transporter toute une foule avec de simples bases mais une passion bien plus forte !

[1444]
=> 3009 mots

Date Et Ville De Naissance: 6 juillet 1990 à Londres [15h23]

Your Self

Prénom Et Pseudo: Elisabeth - Lizzie
Age: 16 ans
Suggestion Sur Le Forum ? Non... pas pour le moment
Où As-tu Connu Le Forum ? je suis une des admins! Very Happy

Avatar : Emma Watson
Multiple Compte ? Non, vous rigolez... C'est déjà pas mal avec un! Faire deux histoires de 3000 mots?!! XD

*NOTATION*

° Contenu :

_ Nombre de mots : Plus de 1800 mots -> +05
_ Ecriture : 9/15
_ Français : 6,5/10

° Appréciation :

Alya

Commentaires : Tes idées sont originales, commes toujours. Tu as réussis à mélanger poésie et vie réelle, c'était un plaisir de lire. Néanmoins, il y a quelques petits détails à faire attention... Les principaux, où du moins, ceux qui m'ont le plus marquée [ne crois pas que ça saute aux yeux, c'est juste qu'il faut critiquer à un niveau plus élevé alors ^^] ce sont les répétitions... Comme le dit Soul, on sent les moments où tu as relaché un peu ton attention, pressée d'écrire tes idées afin de ne pas les perdre. Ensuite, ce sont tes phrases à rallonge. Mais une fois de plus, je ne le souligne que parce qu'il le faut. Je suis consciente que t'as essayé d'y faire gaffe, mais ça doit probablement être aussi de l'inattention. Et finallement, les fautes d'ortographe mais je ne donne pas de points la dessus, Soul s'en est déjà chargée =)

Kiwi

Commentaires :
Démarque-toi, trouve ton style ! Tu fais des phrases, longues et parfois, je l'avoue, lourdes mais jamais tu ne trouve ton propre style. Tu fais des efforts qui sont visible, au niveau du vocabulaire notamment mais veille à égaliser le ton !
C'est tout ce que j'avais à dire, ton texte est moyen et je suis sûre que tu peux plus, pour tes écrits et pour le FORUM.

River

/5

Soul

° Total et commentaires :

Alors, c'est un beau texte mais je le trouve un peu difficile à lire, il y a des moments où tes constructions de phrases (que tu essaies d'améliorer ce qui est positif) rendent ton récit lourd et un peu incompréhensible. Pense à simplifier légèrement tes phrases ce qui les rendra plus agréables à lire et donc, fera de la lecture de ton texte un bon moment plutôt qu'une prise de tête pour essayer de te suivre. C'est, sans conteste, bien écrit et les efforts sont là, autant au niveau vocabulaire qu'au niveau syntaxe mais on voit assez fortement les lignes où ton attention se relâchait et donc où les phrases sont moins bien construites. Je pense que tu devrais te laisser aller pour trouver ton style à toi parce que tes textes sont beaux mais ils manquent un peu d'une trace personnelle.
Niveau français, il y a encore quelques fautes qu'une relecture ou deux auraient peut-être éliminées, attention aussi à certains temps de verbes.

Avec une moyenne de 23,5(sur 35), tu es acceptée en temps qu'élève de deuxième année, cependant, si tu préfères intégrer l'université en première année (même si tu es un niveau au-dessus)au début, c'est possible. Les appréciations des deux admins paresseuses ne devraient pas tarder mais je ne pense pas qu'elles changeraient fondamentalement ta note. Bon jeu !

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